samedi 19 juin 2010

FIN de REGNE!!!

Il y a des gens qui ont oublié le plus élémentaire des syllogisme tout homme est mortel, or le président est un homme donc le président va mourir? La réponse est encore à chercher pour d'autre.
Un ministre a taxé toute une région d'esclave du président. Mais en réalité il est loin de la réalité car on attend qu'il donne les arguments pour soutenir son point de vue somme toute individuel. Nous sommes en démocratie et Jaques A fam ndongo a le droit de dire ce qu'il lui semble bon. Mais il a aussile devoir d'accepter que chaque camerounais dise ce qu'il veut de la marche de son pays et de son président.
Lorsqu'il clame qu'il n'y a pas de débat d'idée est-il certain lui-même d'avoir avancé une seule idée digne de débat sur la scène politique nationale?
Et bien nous avons beau cherché au-delà des querrelles byzantines, aucune idée novatrice de Jacques n'est venue illuminer le ciel assombrie de la politique camerounaise;
Alors Jacques que pensez-vous d'un retour au fédéralisme?
répondez à cette invitation à la réflexion et nous ouvrirons le débat.

ELECAM VERSION BIYA: LA PREUVE

BIYA est-il démocrate? Non
Ceux qui cherchaient encore les preuve de la non démocratitude du président camerounais sont désormais servis. On ferait mieux de dire une nnième fois servis. Après les multiples violations de la constitution le président vient de confisquer l'institution en charge des procahines élection en violation totale du texte de loi par lui signé.
Il a fait un comité central bis de son parti.
Mais il n'y a point de crainte.
Nous disons à la jeunesse en âge de voter que si tout ceci est fait c'est parce que la défaite du camp présidentiel est presque assurer si elle s'inscrit, vient aux élections, assitent au dépouillement puis défend sa victoire. Si le sort été lancé Biya n'aurait pas besoin de tous ces efforts de tripatouillage.
Il faut que les citoyens se mobilisent ils ont le rôle le plus important dans la république. Si les citoyens ne bougent pas rien ne se fait. Les leaders politique ne vont que dans le sens et la direction où les poussent les citoyens.