vendredi 27 février 2009

OUVRIR LE DEBAT 2011

Ouvrir le débat de 2011 est une démarche qui me semble logique.
Un peuple comme tout être vivant évolue par cycles de croissance et de décroissance. Il doit pouvoir nonseulement intégrer ce principe naturel mais l'admettre, l'accepter et le gérer comme une donnée indispenasble à sa survie.
La métamorphose des grénouilles, papillons et autres serpents, devrait nous avoir suffisament instruit à ce sujet.
Il n'est plus simplement question d'un débat intellectuel encore des lettrés que le pays compte par millier ne soient pas toujours assez engagés pour assumer ou passer à l'intellectualité. Il faudrait un examens sans complaisance des résultats par rapports aux potentialités, aux dispositions contextuelles et à l'engagement militant du président et de ses gouvernants à assumer la liberté des camerounais tant au niveau national qu'international.
UNE TELLE DEMARCHE NECESSITE UN PLAN CLAIR POUR TOUS:
Il temps que Biya et son gouvernement disent au cameroun ce qui a été fait en qualité et en quantité depuis le 6 novembre 1982 jusqu'en octobre 2011, soit vingt neuf ans de règne et non de gouvernorat administratif.
Nous pensons qu'il faille ouvrir le débat sur:
1- L'EDUCATION
2- LA SANTE
3- LE SPORT ET LES LOISIRS
Ces trois domaine pourrrait dans un premier temps nous montrer l'ampleur de l'action utile ou désastreuse du régime Ahidjo-Biya.
1- Au niveau scolaire souvenons simplement que n'eut été les don japonais il n'y aurait quasiment plus d'école primaires digne de l'époque coloniale dans notre pays. Et que malgré cette apport il y encore des villages ou les élèves manquent de table bancs quand il y a des semblant de salles de classes. Après cinquante ans d'indépendance il n'y a pas de justification à une telle absence de conscience nationale. Car entre temps il y a des agents publics dont les comptes en banque et les hôtels privés pourraient faire pâlir de jalousie des riches des pays auxquels le pays tend la main pour mendier, PPTE oblige; or un mendiant n'a pas de parole à la table de ses bienfaiteurs.
Il faut sortir de cette frustrante situation.

lundi 23 février 2009

PHASE UNE : POURQOUI BMG

La question objective que se poseraient de nombreux camerounais et même Africains qui observent la situation du Cameroun et l'estime meilleure est, pourquoi souhaiter le dpart de Biya?
Il y a cette question mille et une réponses et l'une des plus simple est qu'il à afit sonabilité temps. LE président actuel du Cameroun a affirmé lui même qu'il ne rêve plus ,c'est à dire qu'il ne nourrit plus aucun rêve donc aucune ambition d'une vie meilleure pour les Camerounais.
Une telle affiramtion est tellement lourde de conséquences et d'implications négatives qu'il aurait dû lui même démissionné après une pareille affirmation.
Comme les mutations actuelles du monde sont au dela de son entendement soit de son fait soit du fait des faucons qui l'entourent, la jeunesse camerounaise doit prendre ses responsabilité pour se redonner un nouvel espoir d'un avenir meilleur;
Voilà pour quoi Biya Must Go!

mercredi 18 février 2009



Bonjour: "le Cameroun de La Renaissance".

Il est des bonjours comme cela qui vous intriguent.

c'est le but visé. il convient désormais de se reveiller en sursaut, de prendre comme un soldat qui va en guerre son arsenal et de se mettre au travail.

ce jour en fait inaugure le chantier de la Renaissance et nous la voulons réussie. Il n'est plus question d'enfanter d'un avorton d'Etat, d'un mort né, un Etat fantôme, comme celui que va nous leguer les cinquante années de gestion politique Ahidjo-Biya un couple diabolique. Un couple qui a cru plus à la pensée magico-mystique, qu'à la logique de la raison et de la foi positive.

Le premier était un Franc-Maçon, même si on ne voit pas très bien en quoi sa maçonnérie républicaine a été franche au Cameroun.

Le second à un verni de rosicrucien, son travail n'a laisé de la rose, que des épines aux camerounais.

Et la renaissance doit faire ses premier pas en invitant au départ l'actuel président de la République. Il y va de sa dignité personnelle, du respect des valeurs humaines, naturelles et républicaine.

Son histoire ne doit guère ressembler à celle d'un Mobutu, d'un Eyadema, d'un Houphouët; au contraire il devrait s'inspirer des Senghor, Abdou Diouf....Nelson Mandela.

Mais nous savons, qu'il n'y pense pas il n'agit que sous une très haute et permanente pression. En Homme Fourbe qu'il est il s'imagine toujours que ses adversaires vont se fatiguer, soit parcequ'il n'auront pas assez de moyen pour mener le combat, soit parce qu'ils seront minés par des luttes internes.
Il de milliers de questions en suspens, mais la gestion d'Etat sur quelque domaine que se soit est d'abaord une question Politique. Hier les chantres du libéralisme du non étatisme, vantaient les mérites de l'ultra individualisme privé, aujourd'hui ils clament le sécours indispensable d'un Etat-régulateur.

Nous ne nous voilerons pas la Face et nous ne baisseront pas les bras.

Biya Must Go.