vendredi 9 octobre 2009

LES FRASQUES DU REGIME

BIYA OUT

C'est le cri que pourrait pousser un camerounais, en apprenant le nombre de séjour que le président vient de passer hors de son pays entre juin 2009 et septembre. Quatre séjours d'une durée d'au moins une semaine chacun. Quant on sait que le Cameroun n'a plus de compagnie pour les voyages de ce genre. On imagine aisement le coup de ses frasques présidentielles qui en général ne rapporte rien au pays, si ce n'est des dettes.
Depuis la fin de son séjour New-yorkais, Biya et sa suite sont porté disparus.
On parle de vives négociations avec Sarkozy pour avoir l'onction de se présenter en 2011. Sarko qui pourrait être son fils est celui entre les mains duquel se décide aujourd'hui le destin de tous les Camerounais. Quand on sait que ce dernier a été rattrapé par la "Realpolitik" de "La France-A-frik" du fric de l'Afrique, tout laisse penser que Monsieur Biya sûr de sa propre succession en 2011 nargue les Camerounais en se baladant en Europe et en Amérique au frais du contribuable.

ET LES ENSEIGNANTS ATTENDENT

lundi 28 septembre 2009

LA HONTE DE L'AFRIQUE


Biya Doit Partir

Indépendament de la honteuse modification de la constitution, et même précisement à cause de cette démarche les citoyens camerounais que nous sommes doivent prendre leur responsabilité et montrer, à ceux qui pensent avoir envouté toute la conscience camerounaise, qu'ils se trompent.

Après un réajustement ministériel catastrophique, qui a mis le pays entre les des personnes presqu'en fin de vie, Monsieur Paul Biya vien de montrer au Camerounais comment lui et son clan utilisent la richesse du pays.

Alors qu'il lui aurait suffi de prendre ses quartiers de manière rotative à Kribi, Buéa, poli ou je ne sais quel autres coin touristique du Cameroun pour relancer l'économie de la région; l'homme lion préfère dépenser en million d'euros l'argent du contribuable camerounais.

pour un pays qui est sous perfusion des institutions financières internationales depuis 21 ans ,il manque de mot pour qualifier une telle gabégie.

Si la communauté internationale garde le silence sur de tels actes, tout en pronant la bonne gouvernance et la démocratie, c'est que chaque peuple doit prendre ses responsabilité.

Les Camerounais et particulièrement la jeunesse doit se lever en masse pour faire échec à travers les urnes à M. Biya et son clan.

L'Union des Populations du Camerou, celle qui incarne l'âme immortelle du peuple camerounais s'alliera à toutes les force alternatives pour mettre hors d'état de nuire ceux qui pillent et dilapident les richesse du pays depuis 50ans.
Aujourd'hui Biya et son régime pense avoir réussi un coup de force en érigeant ici et là des monuments qui rendent gloire aux forces occultes qui pensent-ils les maintiennent au pouvoir.
La cathédrale est leur dernier forfait, après Mvolyé avec son fameux trangle de SATOR qui porte le monument du Carrefour Vogt.
Plus que la jeunesse ceux sont les chrétiens et en particulier catholique qui doivent se mettre en ordre de bataille, car pour s'assurer une fraude en paix en 2011 Biya veut neutraliser l'eglise catholique qui semble s'impliquer dans la promotion d'une gouvernance démocratique de la république.

Biya Doit Partir!!!!

mardi 26 mai 2009

BIYA UN OBSTACLE A LA DEMOCRATIE


BIYA Ier

Il ne faut pas sefaire d'illusions ou se complaire du fait qu'on parle aujourd'hui de démocratie au Cameroun , pour se mettre à encenser Paul Biya.
Oui il y a en effet un courrant de chantres et griots qui scandent à longueur de journée " Biya le Père de la démocratie". Ceci doit seulement nous rappeler une autre époque et d'autres cantiques: " Ahmadou ahidjo grand timonier", "Ahidjo le père de la nation"...; Ceux la même qui chantent ces refrains ne croient pas un traitre mots de tout ce qu'ils prononcent.
On a vu - dans un pays voisin, chez Mobutu le "Roi Léopard du Zaïre" pour ne pas le citer - ceux qui lui façonnaient des images et campagnes, cultes de la personnalité divinisant, venir denoncer celui qu'ils ont hier glorifié.

Biya ne paut pas être démocrate premièrement parce qu'il ne sait pas ce que c'est que la démocratie. Il l'a lue comme beaucoup, il en a entendue parler comme quelques uns, il a souvent séjourné dans les pays où elle se vit comme certains; mais il ne la connait pas, simplement parce qu'il ne l'a jamais vécue, expérimentée dans sa chair et dans sa vision de la vie politique.

Ce qu'il en a retenu est qu'il pourrait quitter le pouvoir, si elle est en vigueur. Dès lors il la hait, elle lui inspire la terreur. Poutant il a toute les raisons pour l'aimer, car elle est la seule qui pourrait lui assurer une tranquilité de l'espritet du corp, si il quittait le pouvoir, ou un véritable accès au panthéon de l'histoire du pays si il venait à mourir au pouvoir .

L'histoire de son prédécesseur est assez éloquente pour qu'il en retienne quelque chose. Un chef d'Etat dont la dépouille erre dans un autre pays alors que ses enfants sont déjà dans leur pays et exercent même des mandats municipaux.

Voici les choses que la démocratie permet d'éviter. Et si Biya comme Ahidjo connaissait réellement la démocratie ils ne s'y seraient jamais opposés.

La deuxième raison profonde pour laquelle Biya est un obstacle à la démocratie, est celle de l'ignorance de l'essence du pouvoir politique dans le sens non pas machiavélique du terme, mais plutôt kantien, éthique.
La politique n'est pas une activité commerciale dans laquelle la fins justifie les moyens.Non le leader politique n'est pas un chef d'entreprise. Car comme le disent les experts en management économiuque, pour un PDG de société il faut "bien faire les choses" même si elles vont à l'encontre du grands nombre pourvu qu'elles sauvegardent les intérêts de l'entreprise. Or pour un homme politique il faut faire "les bonnes choses". Cette notion intègre ici les actes et les faits qui concourent au bien être du plus grand nombre et à la préservation de l'harmonie.
une telle approche de la politique n'a jamais été le souci de Biya. Si de pareilles pensées avaient séjourné un temps soit peu dans son esprit il n'aurait pas écrit : Pour le Libéralisme Communautaire. Il aurait fait ce qui y est développé, et la postérité allait lui rendre hommage en écrivant ce merveilleux ouvrage. Cette compilation - dont la grande majorité des 'nègre' ont été chassé de la table du Président parce qu'il osaient souvent lui dire qu'il s'écarte de ce que les Camerounais attendent - est le miroir qui permet de voir combien Monsieur Biya n'a pas pu être un bon président malgré tous les atous qu'il avait entre les mains.

Maintenant il faut reconnaître que ceux qui gravitent autour du pouvoir et entretiennent une sorte de gangraine juteuse, pour eux, font et feront tout ce qui est de leur ressort pour que survivre les systèmes ahidjo-biya.



mardi 19 mai 2009

BIYA ES MORT VIVE BIYA

Quand viendra le jour du dernier repos alors nous chanterons...oui maintenant nous souffrons et tout ce passe comme si notre souffranceétait un elixir pour ce qui vivent auprès du Souverain Biya Premier.
Oui des camerounais sont morts de politique de social et d'économie; mais aussi et surtout du Biyaisme: une doctrine politique basée sur la corruption, les détournements de deniers publics, le trafic d'influence, et l'obscurentisme mystico-religieux.
La question que nous nous posons est celle de savoir si ceux qui servent aujourd'hui dans le vice et l'opprobe ce régime, songent souvent à sa fin et à ce qu'ils auront laissé comme héritage à leur progéniture. Sur ce point Hitler a été plus intelligent que beaucoup de dictateurs africains, il n'a pas eu d'enfant.
Aujourd'hui nous vivons sous un régime similaire à celui d'hitler avec une "Gestapo" plus prompt que celle du troisème Reich. Un enseignant est jugé pour avoir exprimer son ressentiment envers Biya, du fait des embouteillages dus aux déplacements intempestifs du président. Le malheur a voulu que dans le taxi où se trouvait le pauvre moniteur indigène, il y eût également une agent des forces de l'ordre zélé, qui confond la nation à BIYA; Le résultat, le pauvre a été soustrait du monde des hommes pour être expédié dans les enfers qui servent de prisons au Cameroun.
Et avec tout celà un certain François Mattei ose dire que Biya lit les journaux et écoute la synthèse des informations qui est faite au quotidien. Ce serait le souhait mais c'est heureusement faux. cet homme avait en 2002 ignoré jusqu à 4h du démmarrage du scrutin que les élections ne pouvaient pas se tenir sur l'ensemble du territoire faute de matériel électoral dans cette circonscription.
Non dans l'esprit de beaucoup de Camerounais Biya est mort depuis. c'est la raison pour laquelle nous disons vive Biya. Car il est là et il ne se rend pas compte que tout se passe comme si il n'existait plus. Ce qui peuvent grignoter une partie du pouvoir le font allègrement.
Les généraux sont en fonction à vie.
Les Forces de police et de gendarmerie rançonnent les citoyens à poche que peux-tu?
Les fonctionnaires ont tous tranformé leurs services en points de payage routier.
Les Opérateurs économiques font de la contrebande. Et Les simples citoyens s'adonnent à la débrouillardise.
Voilà ce que Biya a fait du Cameroun!

CAMEROUN "LA GESTAPO"

BIYA 2011 ET NOUS
Ceci semble anodin. Mais il y a autour des élections de 2011 une véritable problématique politique, qui englobe entre autre un conflit de génération, une opposition de système et une confrontation idéologique.
Par exemple pour ce qui est des sytème est-il encore normal en 2009, qu'une journaliste soit enlevé, séquestré et torturé parcequ'elle aurait demandé et obtenu la copie d'une émission TV à laquelle un citoyen condamné injustement dans le cadre de l'opération épervier était l'invité.
Il s'agit de M; Albert Roland Amougou qui lors de son passage à New Tv mettait à nu toutes les incohérence du système qui nous gouverne et de sa soit disante opération main propre.
Mais que veut Biya?
Mourir au Pouvoir comme Houphouet Boigny ou Eyadema?
Continuer à discréditer le Cameroun et à Faire souffrir les Camerounais?
Laisser le Cameroun en Ruine avant de Partir?
Dans tous ces cas de figure, sa présence est nuisible et nauséabonde. Il empêche une réelle éclosion du génie national qui permettrait une véritable développement de ce pays.
Au nom de quoi une police qui, avec tout les moyens modernes dont dispose le monde aujourd'hui se peut faire de très bonne investigation irait-elle violenter une paisable citoyenne comme cette Fadimatou.
Non la présence de Biya au pouvoir est un cancer qui risaue emporter le Cameroun. Je le dis depuis dix ans déjà et certains amis ajoutaient souvent après mon nom: "Il n'aime pas en particulier Biya".
Aujourd'hui tous nous ne l'aimons pas mieux que ne pas aimer, nous disons qu'il n'est plus capable de diriger positivement le Cameroun. En effet cet Homme n'est resté là que parce que le pouvoir à une grande force d'auto protection institutionnelle. Cette force fait q'une fois au siège, la loi inspire la crainte et des thuriféraires et les zélotes font le reste.

dimanche 1 mars 2009

EDUCATION: le monde avance le Cameroun recule


Comme nous avons ouvert le débat sur l'éducation et particulièrement sur les infrastructures, il est important de faire cette remarque. c'est la télévision nationale qui dans un réportage sur le lycée de Meiganga a étalé aux yeux du monde entier, ce qui n'était qu'un secret de polichinelle. Au Cameroun il y dans les villes des établissement scolaires sans tables ni bancs. Les élèves sont obligés de se bousculer trois ou cinq sur le banc.

Dans de telle conditions comment retenir quelques choses des enseignements dispensés. Comment imaginer un monde meilleur que la jungle dans laquelle on a été formé.

On comprend très vite pourquoi la question de l'amélioration du cadre de vie et de travail peine à rentrer dans les moeurs des Camerounais. Lorsqu'on est éduqué et instruits dans la plus grande promiscuité on considère les normes règlementaire de travail comme un luxe.

Ainsi vous entendrez des camerounais dire: un élève pr banc ça c'est pour "les blancs". Mais entre temps il facture un cartable en bois qautre à cinq fois plus cher que le meuble de classe une place pour élève.

Au nom de la solidarité tribale on vous montre des honorables députés qui viennent donner des bancs chaque année sous couvert de micros-projets aux écoles ou lycées de leur circonscription.

Ainsi d'année en année le système s'enfonce dans l'abîme.

vendredi 27 février 2009

OUVRIR LE DEBAT 2011

Ouvrir le débat de 2011 est une démarche qui me semble logique.
Un peuple comme tout être vivant évolue par cycles de croissance et de décroissance. Il doit pouvoir nonseulement intégrer ce principe naturel mais l'admettre, l'accepter et le gérer comme une donnée indispenasble à sa survie.
La métamorphose des grénouilles, papillons et autres serpents, devrait nous avoir suffisament instruit à ce sujet.
Il n'est plus simplement question d'un débat intellectuel encore des lettrés que le pays compte par millier ne soient pas toujours assez engagés pour assumer ou passer à l'intellectualité. Il faudrait un examens sans complaisance des résultats par rapports aux potentialités, aux dispositions contextuelles et à l'engagement militant du président et de ses gouvernants à assumer la liberté des camerounais tant au niveau national qu'international.
UNE TELLE DEMARCHE NECESSITE UN PLAN CLAIR POUR TOUS:
Il temps que Biya et son gouvernement disent au cameroun ce qui a été fait en qualité et en quantité depuis le 6 novembre 1982 jusqu'en octobre 2011, soit vingt neuf ans de règne et non de gouvernorat administratif.
Nous pensons qu'il faille ouvrir le débat sur:
1- L'EDUCATION
2- LA SANTE
3- LE SPORT ET LES LOISIRS
Ces trois domaine pourrrait dans un premier temps nous montrer l'ampleur de l'action utile ou désastreuse du régime Ahidjo-Biya.
1- Au niveau scolaire souvenons simplement que n'eut été les don japonais il n'y aurait quasiment plus d'école primaires digne de l'époque coloniale dans notre pays. Et que malgré cette apport il y encore des villages ou les élèves manquent de table bancs quand il y a des semblant de salles de classes. Après cinquante ans d'indépendance il n'y a pas de justification à une telle absence de conscience nationale. Car entre temps il y a des agents publics dont les comptes en banque et les hôtels privés pourraient faire pâlir de jalousie des riches des pays auxquels le pays tend la main pour mendier, PPTE oblige; or un mendiant n'a pas de parole à la table de ses bienfaiteurs.
Il faut sortir de cette frustrante situation.

lundi 23 février 2009

PHASE UNE : POURQOUI BMG

La question objective que se poseraient de nombreux camerounais et même Africains qui observent la situation du Cameroun et l'estime meilleure est, pourquoi souhaiter le dpart de Biya?
Il y a cette question mille et une réponses et l'une des plus simple est qu'il à afit sonabilité temps. LE président actuel du Cameroun a affirmé lui même qu'il ne rêve plus ,c'est à dire qu'il ne nourrit plus aucun rêve donc aucune ambition d'une vie meilleure pour les Camerounais.
Une telle affiramtion est tellement lourde de conséquences et d'implications négatives qu'il aurait dû lui même démissionné après une pareille affirmation.
Comme les mutations actuelles du monde sont au dela de son entendement soit de son fait soit du fait des faucons qui l'entourent, la jeunesse camerounaise doit prendre ses responsabilité pour se redonner un nouvel espoir d'un avenir meilleur;
Voilà pour quoi Biya Must Go!

mercredi 18 février 2009



Bonjour: "le Cameroun de La Renaissance".

Il est des bonjours comme cela qui vous intriguent.

c'est le but visé. il convient désormais de se reveiller en sursaut, de prendre comme un soldat qui va en guerre son arsenal et de se mettre au travail.

ce jour en fait inaugure le chantier de la Renaissance et nous la voulons réussie. Il n'est plus question d'enfanter d'un avorton d'Etat, d'un mort né, un Etat fantôme, comme celui que va nous leguer les cinquante années de gestion politique Ahidjo-Biya un couple diabolique. Un couple qui a cru plus à la pensée magico-mystique, qu'à la logique de la raison et de la foi positive.

Le premier était un Franc-Maçon, même si on ne voit pas très bien en quoi sa maçonnérie républicaine a été franche au Cameroun.

Le second à un verni de rosicrucien, son travail n'a laisé de la rose, que des épines aux camerounais.

Et la renaissance doit faire ses premier pas en invitant au départ l'actuel président de la République. Il y va de sa dignité personnelle, du respect des valeurs humaines, naturelles et républicaine.

Son histoire ne doit guère ressembler à celle d'un Mobutu, d'un Eyadema, d'un Houphouët; au contraire il devrait s'inspirer des Senghor, Abdou Diouf....Nelson Mandela.

Mais nous savons, qu'il n'y pense pas il n'agit que sous une très haute et permanente pression. En Homme Fourbe qu'il est il s'imagine toujours que ses adversaires vont se fatiguer, soit parcequ'il n'auront pas assez de moyen pour mener le combat, soit parce qu'ils seront minés par des luttes internes.
Il de milliers de questions en suspens, mais la gestion d'Etat sur quelque domaine que se soit est d'abaord une question Politique. Hier les chantres du libéralisme du non étatisme, vantaient les mérites de l'ultra individualisme privé, aujourd'hui ils clament le sécours indispensable d'un Etat-régulateur.

Nous ne nous voilerons pas la Face et nous ne baisseront pas les bras.

Biya Must Go.